Pois à Gratter 333 mg Standardisé à 15% De L-DOPA

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Le pois à gratter Solaray contient de la L-Dopa, principale précurseur du neurotransmetteur dopamine, considéré comme l'hormone du bien-être. La dopamine fait référence dans l'action sur l'humeur et l'état de bien-être, les états dépressifs et les divers troubles des neurotransmetteurs. C'est aussi un intermédiaire dans la production de norépinéphrine, neurotransmetteur de l'éveil.

Utilisé depuis plus de 4500 ans en médecine ayurvédique, le pois à gratter (Mucuna pruriens) fascine les chercheurs du monde entier par son profil biochimique et la multitude de principes actifs que contient cette plante. Elle est efficace en cas de maladie de Parkinson, de dysfonction érectile et pourrait également faire baisser les taux de glucose sanguin.

Une découverte ancestrale

Le pois à gratter ou Mucuna pruriens, était traditionnellement utilisé en Inde, pour combattre de nombreuses maladies dont la « kampayata » (ce qu’on appelle chez nous la maladie de Parkinson), les états apathiques, l’améliorer la vivacité d’esprit, la dysenterie, les problèmes rhumatismaux, le diabète et même le cancer.

Un profil biochimique fascinant

Mucuna pruriens contient une multitude de principes actifs parmi lesquels la sérotonine et la L-dopa (L-dihydroxyphenylanine ), principal précurseur du neurotransmetteur dopamine. Une découverte d’un très grand intérêt, la dopamine étant considérée comme le neurotransmetteur du bien-être, produit par le cerveau lorsque qu’il veut faire plaisir à l’organisme. Le L-dopa serait l’un des traitements des plus efficaces dans la maladie de parkinson.

Maladie de Parkinson

Cette maladie dégénérative résulte de la mort lente et progressive de neurones du cerveau et engendre des difficultés à contrôler les gestes : tremblements, rigidité des mouvements et perte de la coordination.

Des études faites sur des rats, ont montré l’efficacité de Pois à Gratter ou Mucuna pruriens dans le traitement de cette maladie : un extrait de Mucuna pruriens s’est montré deux à trois fois supérieur à la L-dopa synthétique, suggérant ainsi que c’est le profil biochimique global de l’herbe et non le seul principe actif qui est de nature à accroître significativement son efficacité sur les symptômes de la maladie.